Pierre Muller ouvre sa conférence par une question : "le monde d'aujourd'hui est cloisonné ou décloisonné ?"
Il décrit ce qui fait croire qu'il n'y a plus de cloison et en opposition les cloisons qui persistent. Il prolonge cette analyse au sujet de l'église.
Pour un retour aux sources, il fait un parcours biblique sur le thème de la cloison dans l'Ancien Testament et dans le Nouveau Testament.
Il montre les cloisons de l'Ancien Testament entre le pur et l'impur (Lévitique 14 v.54-57), entre le sacré et le profane (Ezéchiel 44 v.23), entre le juif et le non juif.
Il démontre l'opposition du Nouveau Testament qui défend la thèse de la destruction des cloisons, avec Jésus et avec l'apôtre Paul.
Il affirme que Dieu a horreur des étiquettes.