Charles Gisquet commence par expliquer ce qu'il entend par "désirs dégradants".
Après avoir dépeint ce triste tableau, il souligne que Dieu veut que l'être humain soit à même de connaitre la limite entre le bien et le mal (cf. Jonas 4 v.11).
Il termine par la bonne nouvelle libératrice, par le moyen mis au point par Dieu pour opérer cette délivrance.