H.E Alexander commence son intervention par la lecture de 1 pierre 1v 3 à 9 :
« Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus Christ, qui, selon sa grande miséricorde, nous a régénérés, pour une espérance vivante, par la résurrection de Jésus Christ d'entre les morts, pour un héritage qui ne se peut ni corrompre, ni souiller, ni flétrir, lequel vous est réservé dans les cieux, à vous qui, par la puissance de Dieu, êtes gardés par la foi pour le salut prêt à être révélé dans les derniers temps!
C'est là ce qui fait votre joie, quoique maintenant, puisqu'il le faut, vous soyez attristés pour un peu de temps par divers épreuves, afin que l'épreuve de votre foi, plus précieuse que l'or périssable (qui cependant est éprouvé par le feu), ait pour résultat la louange, la gloire et l'honneur, lorsque Jésus Christ apparaîtra, lui que vous aimez sans l'avoir vu, en qui vous croyez sans le voir encore, vous réjouissant d'une joie ineffable et glorieuse, parce que vous obtiendrez le salut de vos âmes pour prix de votre foi. »
Ce texte a pour objectif de nous mettre sur le terrain de la résurrection et dans le but que chacun de nous individuellement, nous pénétrions tout à nouveau dans le jardin du tombeau vide, tels que nous sommes pour constater ce qui nous manque, pour confesser et pour connaitre christ, la puissance de sa résurrection, la communion de ses souffrances et la conformité à sa mort afin d’être saisi par lui. Nos vies peuvent ainsi devenir la démonstration de la puissance effective, réelle de ce qui s’est passé il y a plus de 2000 ans.
Toute la vie de l’Église primitive émanait de la réalisation de cette puissance dans leur vie triomphante de circonstances opposées et d’épreuves diverses mais constantes. Dieu avait comme jeté une semence….