Dans le livre de l’Apocalypse, nous découvrons que les Églises qui « réussissent » ne sont pas celles que l’on croit.
De même que l’église de Philadelphie a peu de puissance, l’apôtre Paul savait aussi que c’était dans « sa faiblesse » qu’il était « fort » (2Corinthiens 12.10). Il ne s’agit pas de vanter une faiblesse personnelle, mais de reconnaître que les forces que nous avons ne doivent pas nous faire oublier l’action déterminante de Dieu dans nos vies.
Il en est de même pour l’Église et Jean-Marc Bellefleur nous en parle ici.