La tragédie de la mort est suivie de la résurrection, déjà Job a exprimé cette assurance, cette espérance au-delà de la mort.
Florent Varak lit le récit d'une bonne nouvelle en Matthieu 28 versets 1 à 8.
Il détaille le déroulement de l'évènement avec les autres évangiles. Il aborde la question de l'incrédulité, de la sobriété de l'ange et du choc de la résurrection. Il termine par une invitation à croire avec passion et détermination.