Il est écrit : « C’est pourquoi nous ne perdons pas courage. Et lors même que notre homme extérieur se détruit, notre homme intérieur se renouvelle de jour en jour….18 : parce que nous regardons, non point aux choses visibles, mais à celles qui sont invisibles ; car les choses visibles sont passagères, et les invisibles sont éternelles. » 2 Corinthiens 4/16-18
L’homme, trop souvent lié par le sensoriel, pense qu’il n’y a présence de Dieu que lorsqu’il Le « ressent ». Jésus-Christ n’est pas venu « réparer » l’être humain, mais Il est venu le changer et habiter en lui. L’être extérieur, tel un manteau se détruit, mais l’être intérieur c’est Christ. Le vocabulaire parlant de « la guérison de l’âme », si souvent usité, est inapproprié, voir est un non sens biblique : l’être intérieur est déjà parfait aux yeux de Dieu, c’est toujours l’être extérieur qui est blessé.
Dans sa quatrième conférence, Serge Tarrassenco insiste sur l’urgence pour l’Eglise de se débarrasser de tout ce qui s’est introduit comme fausses doctrines, enseignements et influences extérieures (Freud par exemple) qui prétendent rajouter ou continuer l’œuvre de la croix.