Au travers de ces deux lectures, Charles Kenfack, traite deux sujets qui sont indissociables : malgré nos préoccupations, nos problèmes, nos soucis, sachons aussi nous arrêter pour entendre l’appel de nos contemporains, ceci est vrai pour les besoins matériels « Mes frères, que sert-il à quelqu’un de dire qu’il a la foi, s’il n’a pas les œuvres ? La foi peut-elle le sauver ?…… » (Jacques 5/ 14-18).
Mais il faut tout autant, être riche pour Dieu, cela se construit sur des fondements solides, avec des matériaux nobles : « … que chacun prenne garde à la manière dont il bâtit…si quelqu’un bâtit sur ce fondement avec de l’or, de l’argent, des pierres précieuses, du bois, du foin, du chaume, 13 (3-12) l’œuvre de chacun sera manifestée ; (3-13) Être riche pour Dieu coûte aussi.