Dans Matthieu 9v35 à 10v5 on voit que Jésus connaît parfaitement l’état du cœur humain.
Durant son ministère sur terre, Il voyait la détresse, la misère, les souffrances physique, morale, spirituelle du monde. Il dit que la moisson pour le salut est grande au regard de ces foules languissantes et abattues (V.36)
La moisson est toujours le fruit d’un long travail : labourage, semailles, récolte...
Pierre Molinengo nous rappelle ce que doit être le travail du chrétien : rentrer sans tarder dans le champ du maître. La négligence peut perdre toute une moisson. La génération de Noé, Sodome et Gomorrhe en sont des exemples.