Jean-Marie Ribay remonte à la connaissance du bien et du mal, reçue à la suite de la seule désobéissance possible d’Adam et Eve dans le jardin d’Eden.
Elle est en conséquence, présente en chaque être humain dès son plus jeune âge...
Cette conscience, plus qu’une preuve de l’existence de Dieu en nous (Romain Ch.2v14-15), est aussi un révélateur, un moyen de connaître la qualité de notre relation avec Dieu et peut prendre plusieurs états : pure, bonne, mauvaise, flétrie, cautérisée, piétinée, émoussée, perdue, faible, souillée …
Jean-Marie Ribay nous détaille, versets à l’appui, les mécanismes qui affectent cette conscience si précieuse et qui peuvent nous tenir éloignés de notre vocation et de la qualité de vie que chaque enfant de Dieu doit avoir.
Invitations à laisser le Saint-Esprit faire son œuvre de restauration par la prière et la repentance.