Alfred Nobel lut un jour son faire-part de décès qu’un journal français avait imprimé par erreur, le prenant pour son frère Ludvig décédé lors d’un voyage à Cannes. Cette expérience le poussa à réécrire son testament. Selon ses dernières volontés, sa fortune devait servir à établir une fondation décernant un prix connu aujourd’hui sous le nom de Prix Nobel. La mort annoncée est un formidable moyen de vous faire réfléchir n’est-ce pas ?
Mais personne ne vécut une expérience similaire à celle des trois jeunes Hébreux qui refusèrent d’adorer la statue de Nabuchodonosor...
Ce "Trésor du jour" est une méditation audio tirée de la brochure trimestrielle "Sa Parole pour Aujourd'hui".