Quand Job se retrouva dépouillé de tout, richesse, famille, santé... etc, il ignorait la raison de son infortune. Il ne savait pas ce qui s’était passé derrière le rideau. Il ignorait les discussions qui venaient d’avoir lieu entre Dieu et Satan.
Pendant de longs mois il se plaignit de son sort, sans toutefois accepter de blâmer Dieu pour son revers de fortune. Il se contenta de prier afin d’accéder à la présence de Dieu, ou trouver un médiateur entre lui et Dieu (Jb 9. 39). Ayant tout perdu il se rendit compte que la seule chose importante était de s’approcher de Dieu. Les amis de Job ne cessèrent de le critiquer, estimant qu’il avait tort de vouloir discuter avec Dieu.
Pour eux il devait être coupable de quelque péché non confessé. Combien dans votre entourage ont sous-entendu
la même chose lorsqu’ils vous ont vu accablé par une épreuve ?