Le deuxième composant de l'armure du chrétien est la cuirasse de la justice (cf. Ephésiens 6 v.14).
Matthieu Gand lit l'histoire d'une femme qui est la première à avoir reçu la cuirasse de la justice (Jean 8 v.1-11).
Il explique que cette cuirasse est indispensable parce qu'elle protège du sentiment de culpabilité, de l'action du diable et des tentations.