Henri Blocher oppose Nietzsche et l'Ecclésiaste, particulièrement le chapitre 3 qui est une méditation sur le temps, soulignant le verset 11 qui dit que Dieu a mis dans le cœur de l'homme la pensée de l'éternité.
Il explique le contraste entre les conceptions et les orientations typiques de l'homme ancien et l'homme moderne qui s'opposent à propos du temps et de l'éternité.
Il analyse ce contraste sous l'angle de la fuite au culte du temps, de l'instance intermédiaire entre les temps et conclut avec différentes considérations.