Lecture dans : Apocalypse 21/1-2 " Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre ; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n’était plus. Et je vis descendre du ciel, d’auprès de Dieu, la ville sainte, la nouvelle Jérusalem, préparée comme une épouse qui s’est parée pour son époux."
L’intelligence humaine est trop limitée pour décrire les mystères insondables de Dieu. L’apôtre Paul, ravi dans les lieux célestes, n’arrive pas à traduire la magnificence de ce qu’il a vécu : " Et je sais que cet homme (si ce fut dans son corps ou sans son corps je ne sais, Dieu le sait) fut enlevé dans le paradis, et qu’il entendit des paroles ineffables qu’il n’est pas permis à un homme d’exprimer. " 2 Corinthiens 12/3-4. Dieu nous laisse comprendre l’essentiel : le ciel sera l’héritage des rachetés.
Patrie céleste, tabernacle de Dieu, montagne de Sion, royaume céleste, demeure du très haut, trône, cité céleste, maison du Père, Nouvelle Jérusalem…la Bible emploie le mot ciel ou paradis 580 fois, dans 550 versets. Très humblement, John Glass tente d’apporter des réflexions sur les deux derniers chapitres de l’Apocalypse. Il parle de la vision du ciel, de la Nouvelle Jérusalem et s’adresse aux sceptiques.
Il nous renvoie aux paroles de Jésus dans Marc 13/26-28 " Alors on verra le Fils de l’homme venant sur les nuées avec une grande puissance et avec gloire. Alors il enverra les anges, et il rassemblera les élus des quatre vents, de l’extrémité de la terre jusqu’à l’extrémité du ciel. Instruisez-vous par une comparaison tirée du figuier. Dès que ses branches deviennent tendres, et que les feuilles poussent, vous connaissez que l’été est proche."