Jean-Marie Ribay poursuit ici l'étude de la première lettre de Pierre.
Ce chapitre montre Christ comme la pierre principale, et les croyants comme des pierres vivantes, fondées sur lui. L'ancien temple, le bâtiment, a été détruit : il n'en est pas resté pas pierre sur pierre.
Mais Christ a rebâti le temple de Dieu, qui est maintenant le Corps de Christ, pierre sur pierre : des pierres vivantes sur lui, la pierre de l'angle. Puis l'auteur aborde la question délicate de la soumission.