Avec des textes comme 1 Jean 4 verset 8 ou Jean 3 verset 16, François Mattina affirme que Dieu est amour.
Il définit les dimensions de cet amour : la longueur, la largeur, la profondeur et la hauteur, tel que le dit Paul en Ephésiens 3 verset 18. Il montre que face à la violence, Dieu oppose la patience, le pardon et la fidélité.