La Bible nous donne de nombreux exemples sur l’exercice de la libéralité par le peuple de Dieu. En dehors des offrandes régulières comme la dîme, il existait des ‘grandes occasions’ de dons. Deux catégories se dégagent :
Pierre Molinengo nous rappelle qu’au-delà de l’objectif de l’offrande, deux conditions essentielles subsistent pour qu’elles soient agréées par Dieu : premièrement donner de bon cœur, avec joie et deuxièmement ne pas s’enfler d’orgueil. « L’argent est à moi, et l’or est à moi, dit l’Eternel des armées. » (Aggée 2 : 8). « Car qui suis-je et qui est mon peuple, pour que nous puissions te faire volontairement ces offrandes ? Tout vient de toi, et nous recevons de ta main ce que nous t’offrons » (1 Chroniques 29 :14). On ne donne pas à Dieu, mais on Lui rend bien modestement !